Il suffit de rapprocher d’un prêtre et d'accepter le contact de sa main qui absout pour que la lèpre du péché disparaisse immédiatement. Le pécheur peut commencer une nouvelle vie en tant que personne en bonne santé. Bien qu'il doive souvent traverser une période de convalescence, éliminant les effets des péchés sous la forme d'une grande faiblesse spirituelle, mais avec la nourriture sanctifiante, la Sainte Communion, il retrouvera rapidement sa pleine force et sa joie d'esprit.

Au Cénacle, le jeudi saint, Jésus remit entre les mains des prêtres le pouvoir de transformer le pain et le vin en nourriture d'immortalité. Cependant, puisque cette nourriture ne peut pas être donnée aux gens dans le péché, car non seulement elle ne les aidera pas, mais elle leur fera du mal, il était nécessaire de permettre que les mains du prêtre puissent guérir les cœurs humains. Le pouvoir de l’absolution est logiquement lié au pouvoir de consacrer le pain et le vin. Ainsi, là où la sainteté de l'Eucharistie est rejetée, le pouvoir sacerdotal de pardonner les péchés n'est pas non plus reconnu.

Un chrétien doit découvrir la grandeur du trésor qu'est l'Eucharistie et la puissance de l'absolution. Ces deux trésors ont été posés dans les mains sacerdotales. Celui qui est capable de regarder sincèrement un prêtre découvre la grandeur de ces dons.

Le plus souvent, avec une foi fragile, une erreur est commise, en évaluant le don de l'Eucharistie et de l'absolution, en regardant la valeur du prêtre. Il devrait en être l'inverse. C'est le prêtre qui doit être jugé par le don qui repose entre ses mains. C'est comme jeter un panier plein de diamants simplement parce qu'il est vieux, sale et sans valeur.